Neuf coups de cœur artistiques après un voyage à Rome.
Pietà, Michel-Ange (1475-1564)
Basilique Saint-Pierre
La Pietà de Michel-Ange semble être une œuvre tombée du paradis. L’esprit a du mal, face à cette apparition, à accepter qu’elle ait été pensée et sculptée par un être humain. Impossible de ne pas croire immédiatement à la grâce qui habite ce monde et cette vie, en face de cette si simple, si émouvante composition. Les mots manquent. Élégante ? Raffinée ? Délicate ? Douloureuse ? Sublimement résignée ? Rien ne saurait rendre l’émotion fondamentale, qu’on le veuille ou non religieuse, que l’on ressent face à cette œuvre hors du temps.
Seul bémol : cette Pietà, visible à la basilique Saint-Pierre de Rome, n’est pas approchable. On la voit de cinq ou six mètres, protégée par une vitre, depuis qu’un cinglé lui a assénée des coups de marteaux (on tremble rien qu’à y penser, mais n’est-il pas normal que ce chef-d’œuvre des chefs-d’œuvre soit aussi le premier à être agressé ?). On ne peut donc pas tourner autour de ce miracle, en apprécier de près chaque centimètre carré. Il est donc indispensable de se procurer un livre de photos pour prendre la mesure des ressources étourdissantes de cette sculpture (ce site en propose une sélection).
Le secret du charme de cette œuvre ? Peut-être le fait que, malgré le visage incliné de la vierge, cette statue semble habitée par une force ascendante. Comme si elle était aimantée par le haut. Comme si elle était le simple dépôt accidentel d’un au-delà. D’une certaine manière, cette Pietà ne devrait pas être là. C’est un perpétuel accident. Le corps du Christ est mort, allongé, mais la voie de l’ascension est ouverte. La main gauche de Marie, simplement ouverte, lui offre cette issue.
Rappelons toutefois les faits pour ne pas trop délirer : un type nommé Michel-Ange a sculpté cela à 24 ans (24 ans… Qu’avions-nous réalisé à 24 ans ?…). On peut simplement en déduire que Michel-Ange n’était pas seulement un homme, et un peu plus encore qu’un génie. D’autres faits : la Pietà a été achevée au printemps 1499. D’après la page Wikipédia, « le contrat fut signé le 27 août 1498 pour une somme de quatre cent cinquante ducats ». Dimensions : 1,74 mètres de hauteur, 1,95 mètres de longueur, 0,69 mètres de largeur. Michel-Ange a donc imaginé puis sculpté ce bijou en moins d’un an, à vingt-quatre ans. Amen.
La Vocation de Saint-Matthieu, Le Caravage (1571 – 1610)
Église Saint-Louis des Français
Les principaux caractères des œuvres du Caravage apparaissent parfaitement dans cette Vocation de Saint-Matthieu. Le peintre représente la scène comme si elle se produisait au temps où il vivait. L’éclairage est naturel, la seule source de lumière étant issue de la fenêtre qu’on imagine en haut à droite du tableau.
Le réalisme caravagesque joue à plein, en particulier dans la représentation du Christ, qui dégage comme rarement une impression de fermeté. Ici, il est vraiment peint comme un meneur d’hommes, absolument pas comme un héros pathétique. Il est déterminé à choisir Saint-Matthieu, ce pauvre homme jouant aux jeux d’argent dans un troquet miteux, et pas un autre. On remarquera que l’index du Christ, pointé vers le vieillard, est légèrement détendu alors même que le mouvement de son bras est très directif. Magnifique subtilité qui laisse sentir toute l’assurance du Christ, qui sait qu’il sera obéi et n’a pas besoin d’en rajouter. Regard perçant, bras ferme, main déliée.
Le Caravage rend aux épisodes sacrés toute leur crudité. Chez cet artiste, la foi va toujours de paire avec une certaine violence. Elle jaillit, sélectionne, appelle, contraint, destine, à la lumière de ces clairs-obscurs vivaces, tranchés. Il y a quelque chose de magnifiquement âpre et sombre dans les œuvres de ce peintre, mais aussi de très convaincant, religieusement parlant. L’aventure de Jésus pourrait se passer aujourd’hui, à deux pas de nous, dans notre environnement a priori désenchanté : voilà l’un des messages du Caravage. Un remède contre la niaiserie religieuse, d’une certaine manière.
Un autre tableau admirable du Caravage, abrité à la Galerie Borghèse, est son Saint-Jérôme (auteur de la traduction de référence de la Bible en latin).
Le prodige, dans ce tableau, tient à une observation, selon moi : on ne voit presque pas le visage du Saint, et pourtant on saisit toutes les subtilités de son état d’esprit. On le sent fébrile. Il vit tellement dans l’urgence de sa mission, traduire la Bible, annoncer la Bonne nouvelle aux hommes de tous les peuples, qu’il ne prend même plus le temps de se nourrir. Il se dévoue tout entier, corps et âme, à la tache qu’il s’est fixée. Il n’est pas maladif, pourtant, car habité d’une force prodigieuse, celle de sa foi. N’est-ce pas une sorte de miracle que de réussir à nous faire ressentir tout cela sans même avoir besoin de nous montrer le visage de Saint-Jérôme de face ?
On notera l’intérêt plus intellectuel de l’œuvre. Il semble en effet que Saint-Jérôme puise son inspiration, sa ferveur créatrice, de l’idée de sa propre mort. Car vers où se déploie son bras droit, celui qui tient la plume et qui ressemble déjà presque à un os ? Ce bras va chercher du côté du crâne son inspiration. Ce crâne qui luit d’ailleurs comme luit le crâne chauve du vieillard. Ainsi, tout en écrivant, il dialogue avec sa propre mort, avec son squelette. Celui-ci participe à l’acte intellectuel, d’une certaine manière.
N’est-ce pas une intuition juste ? N’est-ce pas que l’écrit, dans le sens le plus noble du terme, va toujours être motivé par la mort ? Louis-Ferdinand Céline savait de quoi il parlait quand il titrait l’un de ses romans Mort à crédit. Écrire, c’est négocier avec sa mort. La littérature, et plus généralement l’écrit sacré, se nourrissent toujours de ce côté-là. La mort fait crédit à l’auteur d’un peu plus de lucidité, d’un peu plus de temps, d’un peu plus d’énergie, pour finir son œuvre, avant qu’il ne meure banalement comme les autres non-écrivains.
En cela, ce tableau est aussi une méditation sur l’acte d’écrire, la seule manière de traverser sa propre mort. Et une preuve de plus que Caravage est un artiste immense.
Le Forum romain la nuit
Rome
Si certains arrivent à se concentrer au milieu de centaines de touristes, j’avoue avoir du mal. En journée, visiter le forum romain est bien sûr impressionnant. Mais c’est un endroit très peuplé… C’est en y passant le soir que l’on peut, dans le silence, laisser la magie des lieux s’infuser en nous. La Curie, qui abritait le Sénat. La Voie sacrée, sur laquelle défilaient les chefs de guerre victorieux.
On peut également admirer la majesté de l’arc de l’empereur Septime-Sévère, édifié en 203 après J-C.
Crédit photo : Retour d’actu
L’Enlèvement de Proserpine, Le Bernin (1598-1680)
Galerie Borghèse
Voilà encore une œuvre très célèbre, gardée à la Galerie Borghèse, représentant l’enlèvement de Proserpine par Pluton. L’art baroque, dont Le Bernin est l’un des maîtres, s’applique à saisir le mouvement. Ici, c’est réussi à la perfection. On pourrait tourner des heures autour de L’enlèvement de Proserpine pour admirer la vigueur de la composition, son intelligence, la beauté délicieuse de chaque détail rapporté avec un soin extrême. Les effets de perspective et d’harmonie sont innombrables.
Le Bernin dégage ici une impression de maîtrise absolue du marbre. Il n’y a que devant ses œuvres que l’on sait de quoi un sculpteur est capable ; jamais autant que devant l’une de ses sculptures on oublie que tout cela n’était, au départ, qu’un lourd et encombrant caillou. Le détail le plus souvent cité de cette sculpture est l’enfoncement des doigts de Pluton dans les chairs immaculées de Proserpine. De quoi faire frissonner…
Cette œuvre est impressionnante de virtuosité, mais elle manque peut-être d’une certaine puissance spirituelle (que l’on retrouve par exemple à la puissance mille dans la Pietà de Michel-Ange, plus haut). La fougue est là, mais l’on sent que ce n’est que la fougue d’un moment. Par ailleurs, les visages sculptés par Le Bernin peuvent sembler moins subtils, moins riches que ceux sculptés par Michel-Ange.
Cela dit, comment ne pas admirer profondément la fougue des mouvements de Proserpine (bras et jambes, contorsion du buste et du cou, jusqu’à la légère crispation des orteils), la manière avec laquelle elle semble gigoter comme un petit poisson attrapé dans un filet pour se défaire de la diabolique étreinte de son agresseur. De tout cela émerge une délicieuse saveur de tragique. Guerre des sexes, choc des éléments… C’est violent, cruel, mais aussi terriblement sensuel. Y a-t-il l’un sans l’autre ?
En cela, cette sculpture met le visiteur en face de son idée de la sensualité. Le Bernin nous demande, en fait, si nous sommes capables de dire « Oui » à ce que la statue nous propose. Oui à la fugacité du plaisir, mais oui à sa cruauté également. Ou bien refusons-nous cette invitation au dionysiaque ? Devant L’Enlèvement de Proserpine, difficile de se cacher.
L’amour sacré et l’amour profane, Titien (1488-1576)
Galerie Borghèse
Ce tableau du Titien, peint en 1415, est un vrai moment de grâce. Le principe est simple : mettre côte-à-côte la même femme dans deux situations différentes. Le personnage de gauche (l’amour sacré) nous la propose en amoureuse chaste, enserrée dans les conventions de la noblesse. Son regard est vague, perdu ; ses mains sont gantées, elle a des chaussures. Le personnage de droite (l’amour profane) nous montre la même femme, mais presque nue. On peut déjà apprécier le coefficient érotique de la situation : montrer sur un tableau la même femme en tenue de ville et en tenue d’Ève. C’est au moins une provocation, de la part d’un mâle, à l’égard de la stratégie sexuelle féminine qui tient le plus souvent à entretenir un certain mystère sur la réalité de sa nudité (allez demander à une fille dans la rue si l’expérience la tenterait pour être placardée sur les rues de la ville…).
La beauté de ce tableau, me semble-t-il, émerge de la supériorité discrète que Titien confère au personnage de droite, l’amour profane. La femme représentant l’amour sacré est légèrement affaissée sur elle-même. Maladroite, elle semble ne pas savoir quoi faire de ses membres encombrants. Elle semble perdre l’équilibre, s’appuyer sur la fontaine. Elle aimerait se lever mais reste comme prostrée dans une absence mélancolique.
L’amour profane, elle, se tient magnifiquement, occupe l’espace avec grâce, se permettant même de couver l’autre du regard, comme si elle la comprenait, comme si elle la plaignait. Tout est évident et fier dans son attitude, sans être le moins du monde méprisant. Il faut vraiment être face au tableau pour apprécier le magnifique visage de cet amour profane.
Quelle finesse dans l’expression ! Nul mépris, encore une fois, mais une légère pitié. « Fais comme moi, qu’est-ce que tu attends ?! », semble penser l’amour profane à propos de l’amour sacré. Il semble bien que Titien, dans ce tableau, rende hommage aux femmes qui traitent leur corps généreusement, naturellement, sans en être fières jusqu’à la vanité, mais sans en avoir honte non plus. Celles qui voient dans leur corps davantage l’œuvre de la nature que leur propriété, en fait. Non pas que Titien méprise l’amour sacré, mais il semble estimer que la détente du corps, sa manière simple de régner, l’élégance naturelle, l’emportent sur l’amour contemplatif, rentré sur lui-même, peu perspicace.
Le Panthéon
Rome, place de la Rotonde
Le Panthéon est l’un des bâtiments les plus représentatifs de l’histoire de Rome. Construit sous l’empereur Hadrien, au IIème siècle après J-C, il est transformé en église au VIIème siècle.
Rome est une sorte de puzzle fait des différentes civilisations et idéologies qui y ont régné. On sent, à chaque coin de rue, l’influence de telle ou telle période politique, contrairement, par exemple, à Florence. Ici, durant des siècles, il a fallu que les empereurs et les papes marquent leur territoire, jusqu’à aujourd’hui.
Le bâtiment du Panthéon tient son prestige d’avoir traversé toutes ces époques relativement indemne. Qu’il soit un monument romain ou catholique n’a en rien altéré sa prestance. Son imposante beauté échappe aux courants. Les colonnes de ce monument en ont vu passer des époques, des vanités, aujourd’hui seulement présentes dans les livres ! Combien de gloires éphémères ! Elles allient superbement élégance et autorité. Quant à la vaste coupole, un exploit de maçonnerie pour l’époque, elle rend à l’intérieur du bâtiment une impression d’aération délicieuse. Marchez à l’intérieur du Panthéon, restez-y une demi-heure. On s’y sent physiquement bien.
Rappelons également que c’est au Panthéon qu’est enterré Raphaël, ce qui n’enlève rien à la magie du lieu.
Crédit photo : Retour d’actu
Moïse, Michel-Ange (1475 – 1564)
Eglise san Vicento
Il est difficile d’évoquer cette célébrissime œuvre, le Moïse de Michel-Ange, sans évoquer le texte que Sigmund Freud lui a consacrée. Cette statue est la seule achevée par Michel-Ange d’un projet de tombeau du pape Jules II. Mais citons sans plus attendre quelques extraits du texte de Freud.
Face à elle, la première fois qu’il la voit, « une sainte et presque écrasante immobilité en émana et j’éprouvai la sensation que là se trouve représenté quelque chose d’à jamais immuable, que ce Moïse resterait ainsi éternellement assis et irrité ». A rebours, donc, de l’explication commune qui dit que Moïse, dans cette œuvre, est en passe de se lever.
« Moïse au repos a soudain été effarouché par la rumeur du peuple et la vue du Veau d’or [Moïse, à cet instant, regrette en effets que les Juifs adorent une idole, en l’occurrence le Veau d’or, puisque c’est contraire aux dix commandements qu’il vient de recevoir de Dieu]. Il était assis tranquille, la tête, avec la barbe ondoyante, regardant droit devant elle ; la main n’avait probablement rien à faire avec la barbe. Le bruit frappe son oreille, la tête et le regard se tournent du côté d’où vient ce bruit troublant, Moïse voit la scène et la comprend. Alors, saisi de colère, d’indignation, il voudrait s’élancer, punir les sacrilèges, les anéantir. »
Mais toute la subtilité de la sculpture de Michel-Ange est de ne pas s’arrêter là. Elle ne présente pas seulement une inclination, mais le conflit intérieur de Moïse, une tempête sous un crâne.
« Moïse avait voulu, dans un accès de colère, se précipiter, tirer sa vengeance, oublier les Tables, mais il a vaincu la tentation, il va rester assis ainsi, sa fureur maîtrisée, dans une douleur mélangée de mépris. Il ne rejettera pas non plus les Tables pour les briser sur la pierre, car c’est à cause d’elles qu’il a dominé son courroux, c’est pour les sauver qu’il a vaincu son emportement passionné. S’il s’abandonnait à son indignation, il fallait qu’il négligeât les Tables, qu’il retirât la main qui les tenait. Elles se mirent à glisser, elles furent en danger de se briser. Cela le rappela à lui. Il pensa à sa mission et, à cause d’elle, renonça à satisfaire sa passion. Sa main se retira brusquement et sauva les Tables avant qu’elles eussent pu tomber. Il resta dans cette position d’attente, et c’est ainsi que Michel-Ange l’a représenté comme gardien du tombeau. (…) Par-là, Michel-Ange a introduit dans la figure de Moïse quelque chose de neuf, de surhumain, et la puissante masse ainsi que la musculature exubérante de force du personnage ne sont qu’un moyen d’expression tout matériel servant à rendre l’exploit psychique le plus formidable dont un homme soit capable : vaincre sa propre passion au nom d’une mission à laquelle il s’est voué. »
Encore une fois, l’émotion, chez Michel-Ange, naît de la confrontation du corps, puissant mais éphémère, et l’esprit, immatériel et éternel. Le corps nous donne une existence, mais l’esprit nous élève. Le corps figure, l’esprit donne une consistance. Michel-Ange dompte la pierre pour représenter la victoire de l’esprit.
De la même manière que pour la Pietà (voir ci-dessus), il est dommage que l’on ne puisse pas se rapprocher du Moïse (même s’il est moins éloigné que la Pietà). Mais on peut parier que d’ici dix ans une fenêtre le séparera de nous.
On notera, par ailleurs, que Michel-Ange s’est énormément inspiré de l’un des premiers grands sculpteurs de la Renaissance italienne, Donatello. Voyez plutôt ces deux statues (Saint-Jean l’Évangéliste et un prophète), ci-dessous, exposées à Florence au Museo dell’opera del duomo.
Il est bien évident que Michel-Ange avait ces sculptures en tête, très précisément, lorsqu’il a composé son Moïse, qu’on peut tout à fait interpréter comme étant un hommage à Donatello. La ressemblance avec le Saint-Jean est quand même extrêmement parlante ! Même regard porté vers l’horizon, la même impression que le personnage est un homme d’action, la main droite posée sur les jambes, des tables écrites sous le coude… Le Moïse de Michel-Ange est comme le reflet de cette statue.
Crédit photo : Retour d’actu
Église du Gesu, (1584)
Quartier de la piazza Venezia
Rien n’est comparable à la beauté des églises romaines. Elles concentrent l’esprit du baroque : réussir à placer les fidèles dans les meilleures conditions pour se rassembler, prier. Mais également les toucher par des prouesses architecturales, les charmer par de belles courbes, les surprendre par des peintures en trompe-l’œil. On dit souvent que le catholicisme s’est fait l’ennemi du plaisir des sens ; il faut conseiller à ceux qui disent cela de faire un tour dans ces églises romaines, où il fait bon vivre et sentir, observer, se mouvoir. Pénétrez dans ces églises et vous vous sentirez magnifiquement, parfois même magiquement accueillis.
Si j’ai choisi de mettre l’accent sur l’église du Gésu parmi des dizaines d’édifices magnifiques, c’est pour un détail tout simple : les deux petites chapelles qui flanquent le chœur.
Malheureusement, aucune reproduction ne permettra de faire sentir l’atmosphère de recueillement qui règne dans ces deux discrètes chapelles. Lumière tamisée, silence absolu, une poignée de chaises, petite coupole veillant sur les éventuels prieurs solitaires. On se sent là comme hors de soi, hors du monde, dans tout ce qu’il a de bruyant, de vulgaire, d’imparfait. Sublime alliance du bien-être du corps et de l’esprit.
Crédit photo : Calystee / Flickr
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D’autres critiques sur Retour d’actu, dont la première partie de cette mini-série sur les œuvres d’art de Florence, et la deuxième partie ici. Un coup de gueule contre l’utilisation frénétique des appareils photos dans les musées, et enfin une tentative d’en savoir plus sur le pouvoir des nus féminins de Manet.
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